Le lundi matin nous sommes repartis de Vegas pour Los Angeles,
avec encore quelques casinos qui racolent au milieu du désert par tous les moyens, notamment des décors très kitsch,
avec un arrêt à Calico Ghost Town,
pile à 2h de route entre les deux. Encore merci aux Tracols qui nous ont filé le tuyau.
La petite guérite de l'entrée. Les ouvreuses étaient en robes d'époque, il y en avait même une qui avait les ratiches non soignées de l'époque, il lui restait 3 bouts de dents en haut, et bien marrons sur le pourtour, j'avoue avoir été assez choquée, ça faisait peine à voir.
Trois Harleys sur le parking, celle-ci avait une plaque intéressante.
Beaucoup d'habitations sont de type troglodyte.
La première personne qu'on a vue en entrant dans le village,
un soldat sudiste jouant le Dixieland sur sa flûte.
Une explication toute prête,
c'est une ancienne ville minière, mine d'argent.
La mairie
(l'anglais pour les nuls).
L'évolution démographique.
Le bureau de poste n'était pas bien grand à l'époque !
Il se trouve au bout de ce très long et élégant comptoir.
On a fait tous les commerces en remontant la rue.
C'est donc la deuxième fois qu'on passe par une boutique proposant des photos à l'ancienne ( après Jackson Hole, près de Teton), déguisements au choix fournis.
On se serait laissés tenter s'il n'y avait pas eu tant de monde, on ne voulait pas attendre 1/2 heure. J'en ai fait une il y a 24 ans à Sacramento, on essaiera donc d'en faire une là-bas en juin.
En face tout est prêt pour le pestacle.
Un autre Barber shop, le 2ème en deux jours, mais il n'y avait pas de coiffeur vraiment à poste.
" Infinite Justice " dans le Far West, ça fait sourire !
" Mais où sont les corbillards d'antant ?"
Le puits, élément essentiel de la vie d'un village.
En haut de la rue, on tourne soit à gauche pour se rendre à l'église,
soit à droite et on arrive sur les hauteurs offrant une vue sur la ville et la mine.
La voie ferrée de la mine, on voit le petit train qui arrive à la "gare". La richesse des teintes de la terre témoigne de la richesse de ces terres désertiques.
"Terminus, tout le monde descend !"
De haut on se demandait bien de quoi était faite cette maison.
Une autre habitation mi-troglodyte,
au confort très modeste.
" Maman, tu me prends en photo !"
" Maman, tu me prends en photo! "
On dirait qu'ils sont sur / dans une tête de dragon !
" Haut les mains étranger !"
" Alors les filles, c'est combien ?"
Réponse à notre interrogation :
C'est la première maison en bouteilles que j'ai vue !
Elle a été construite dans les années 1950 (1956 ?) par un gars qui voulait se taper un délire et qui avait du temps à perdre, ça aurait pu être Serge.
Une petite rue perpendiculaire, entre l'hôtel et la rue principale.
On arrive sur la chaîne de tri des pépites après l'arrivée du tout venant dans les wagonnets,
à l'angle en se retrouve dans main street.
L'épicerie - saloon,
tenue - dont comportement - correcte exigée :
"interdit de cracher, de boire et aux femmes de petite vertu, et on paye la bière d'avance ", non mais !
Petite animation musicale par les anciens du village, et les gens en visite ont emboité le pas comme on voit dans les westerns.
Vous les avez vus plus haut, et à ce moment-là le gars au chapeau noir jouait La vie en rose au banjo !
Une reconstitution plus vraie que nature !
Le camion de pompier,
dans sa caserne.
Morgan vide son paquet de chips, ce fut leur repas du midi avec quelques cookies, rien d'autre avant notre arrivée à L.A. ! Nous sommes des parents indignes !
Campement de soldats.
Ça c'est de la barrique !
Et de la charrette, de taille très respectable !
Toujours de belles découpes de la croûte terrestre.
Un petit garçon avait posé avant lui, mais à peine le soldat avait-il remis son sabre à Morgan pour la pose, qu'il a fait mine de vouloir le couper en deux ! Personne ne s'y attendait, surtout pas le soldat !
Je leur ai demandé pourquoi tant de sudistes en Californie ?
En fait pas mal de gens dans l'ouest ont sympathisé avec les confédérés -parmi lesquels des américains originaires de ces états venus chercher fortune dans l'ouest.
Allez, c'est pas l'tout, mais on a encore de la route à faire !
Let's move on !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire